2008 – 2011 : L’immobilier flambe à Maewé

C’est le Pado qui lance le mouvement en2008 en même temps que la construction de l’église. Une petite maison très modeste mais la première qui ne soit pas construite en bois. Discrète, abritée par les arbres, on y entend couler la Mae Woei toute proche. Une grande salle de séjour pour accueillir ceux qui ont quelques soucis à confier ou pour réunir le soir ceux qui sont là et ceux qui sont de passage. Et lorsque la saison des pluies sera de retour on veillera autour de la grande cheminée.

Deux ans plus tard en 2011 et pour ne pas être en reste Layo s’établira tout près mais ce sera plus grand. C’est vrai qu’un jour il sera père de famille.

La maison des volontaires, située plus en hauteur, est une maison inachevée que le Pado a achetée en l’état en 2009. Après travaux Alexis en sera le premier locataire. Il consacre l’une des pièces à la coopérative des fils qu’il vient de lancer ; c’était avant la construction de la maison des couturières ! Les volontaires s’y succéderont ; sans oublier Nathalie, un singe exilé de Ponouaypou où, en liberté, il ne faisait que des bêtises.

Le presbytère tout proche de la Mae Woei
Nathalie au pied de la maison des volontaires

En 2009 encore sort de terre le pensionnat qui accueillera pendant quelques années les enfants qui habitent des hameaux trop éloignés et qui ne peuvent rentrer chez eux chaque soir après l’école. Nous y avons déjà fait référence.

C’est sûr l’immobilier flambe à Maewé et les années qui suivent verront encore la mise en chantier de quelques autres bâtiments dont nous reparlerons. Maewé prend peu à peu son visage d’aujourd’hui.

Juste au-dessus de l'école, le pensionnat
Juste au-dessus de l'école, le pensionnat

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